7 fonctionnalités Wooclap pour renforcer l’apprentissage visuel et le raisonnement clinique en pédagogie médicale

Radiographies, schémas anatomiques, arbres décisionnels, photos cliniques…
Dans la pédagogie médicale, les images sont omniprésentes. Elles enrichissent les manuels, les présentations, les protocoles. Mais trop souvent, elles restent passives : observées, commentées, puis oubliées.

Or, un apprentissage durable ne vient pas uniquement de l’observation. Il naît de l’action. De l’interaction. De l’identification, de la connexion, du raisonnement.

Wooclap transforme les visuels statiques en expériences pédagogiques interactives. Grâce à ses fonctionnalités basées sur l’image, chaque visuel devient un levier d’attention, de mémorisation et de pensée critique.

Voici 7 fonctionnalités que vos étudiants vont adorer :

1. Glisser-déposer

Les étudiants placent des étiquettes ou des éléments directement sur une image à l’endroit approprié.

Exemples d’usage :

• Positionner les muscles de la mâchoire sur un schéma crânien
• Classer des instruments chirurgicaux dans l’ordre d’utilisation
• Identifier les zones à risque sur une scène simulée de traumatisme
• Organiser les composants d’une cellule biologique

Pourquoi ça fonctionne :

• Active la mémoire visuelle et spatiale
• Capte l’attention par l’interaction directe
• Renforce la compréhension des procédures

2.  Légender une image

Au lieu de choisir parmi des options prédéfinies, les étudiants doivent écrire et placer eux-mêmes les légendes.

Exemples d’usage :

• Identifier les rôles dans une salle d’opération
• Annoter une lame histologique ou une IRM
• Nommer les éléments d’un schéma anatomique ou d’un dispositif médical
• Analyser une scène de soins simulée en repérant les zones critiques

Pourquoi ça fonctionne :

• Favorise le rappel actif
• Développe la précision diagnostique dans des contextes visuels
• Simule les évaluations cliniques

💡 Bonus : grâce à l’IA de Wooclap, vous pouvez générer automatiquement des légendes à partir d’images annotées existantes (IRM, anatomie, pathologie), ce qui permet de gagner du temps sans sacrifier la qualité.

3. Trouver sur l'image

Les étudiants doivent cliquer précisément sur la zone appropriée dans une image.

Exemples d’usage :

• Désigner le nerf correct sur un schéma de la colonne vertébrale
• Localiser une fracture sur une radiographie
• Identifier les organes critiques sur une coupe transversale

Pourquoi ça fonctionne :

• Renforce les compétences d’observation
• Relie théorie visuelle et pratique diagnostique
• Offre un retour immédiat

4. Les images dans plusieurs types de questions Wooclap

Plusieurs types de questions Wooclap (QCM, association, classement, question ouverte…) peuvent intégrer des visuels.

Exemples d’usage :

• QCM : interpréter une coupe histologique
• Association : relier les organes à leurs fonctions
• Classement : organiser les étapes d’une procédure chirurgicale
• Question ouverte : commenter les anomalies visibles sur une radio

Why it works:

- Encourages multimodal learning
- Aligns with real-world clinical reasoning

5. Le Mur de messages avec images

Les étudiants peuvent envoyer leurs propres visuels (dessins, schémas annotés, photos) et commenter ceux des autres.

Exemples d’usage :

• Partager des croquis anatomiques faits à la main
• Publier et comparer des interprétations d’images cliniques
• Réaliser des revues visuelles entre pairs
  

Pourquoi ça fonctionne :

• Encourage la collaboration
• Développe le raisonnement graphique
• Utile pour les classes inversées et les retours d’expérience

6. Test de concordance de script (TCS)

Les étudiants évaluent comment de nouvelles informations influencent une hypothèse clinique, souvent à partir de combinaisons texte + image.

Exemples d’usage :

• Évaluer comment des douleurs thoraciques et un ECG modifient une hypothèse
• Raisonner à travers des scénarios de traumatismes évolutifs
• Comparer ses décisions avec celles d’un panel d’experts

Pourquoi ça fonctionne :

• Développe le raisonnement clinique en contexte incertain
• Prépare à la prise de décision ambiguë
• S’aligne avec les formats d’évaluation de type SCT comme le Next Gen NCLEX

7. Concordance de jugement (TCJ)

Une variante collaborative du TCS où les étudiants comparent leur raisonnement avec celui d’experts ou de pairs.

Exemples d’usage :

• Débattre de choix thérapeutiques à partir d’une image clinique
• Hiérarchiser les priorités lors de simulations d’urgence
• Réfléchir à la variabilité du raisonnement clinique

Pourquoi ça fonctionne :

• Stimule la métacognition
• Met en lumière les divergences d’opinion experte
• Favorise les discussions autour des cas complexes